Carnet de route

Pic Blanc du Galibier

Le 19/03/2025 par Jean-Paul Passinge

Quand Michel m’a proposé d’organiser conjointement une collective mixte « skis-raquettes », je n’ai pas hésité longtemps. En effet, les sorties à skis ou à raquettes sont aujourd’hui bien distinctes. Mais j’ai de délicieux souvenirs de semaines mixtes organisées par Marie-Pierre et Michel dans le Mercantour ou le Val Maira. Réitérer cette expérience, même sur une seule journée, me ravit.

Partant de la route du Col du Lautaret, notre groupe (7 raquettistes et 8 skieurs) avale rapidement les 500 premiers mètres jusqu’à couper la route du Col du Galibier. Un long vallon s’étire ensuite devant nous, abondamment zébré de traces de skis récentes ; le Pic Blanc est en effet une classique très souvent parcourue, y compris en semaine. Un départ à près de 2000m et un panorama constamment grandiose y sont pour beaucoup. Les sommets se dévoilent au fur et à mesure de la montée : Meije-Pavé-Gaspard puis Viso, Barre des Ecrins, Pelvoux et enfin les Aiguilles d’Arves qui nous accueillent lorsque nous approchons du sommet.

Nous mettons tout ce que nous avons sur le dos (nous sommes à près de 3000m d’altitude) avant de profiter du panorama et d’effectuer les classiques photos de groupe.

La descente se déroule évidemment chacun à son rythme … mais il est cependant difficile pour nous raquettistes, de dénicher dans ce secteur, des petits vallons vierges de traces propices à une évolution tout-terrain tellement appréciée.

Un sommet magnifique, des paysages de toute beauté, un ciel bleu azur, une collective mixte réussie, il ne reste plus qu’à trouver un bar ouvert pour clore cette belle journée. Ce sera au Col du Lautaret face au Massif du Combeynot où nos pensées s’égarent sur d’hypothétiques itinéraires. Mais ça, ce sera pour une prochaine fois !

Merci à Michel pour la suggestion et l’encadrement du groupe skieurs.

Participants : Annette, Brigitte, Mara, Marie-Noëlle, Patricia, Stéphanie, Sylvie, Alexis, Bertrand, Emile, Hervé, Jean-Luc, Philippe, Michel et Jean-Paul